Nouvelle collection de produits dérivés BB!!! 8 octobre
Présentée lors du dernier salon Maison et Objet de Septembre, la nouvelle collection de produits dérivés Teo Jasmin à l’effigie de BB va être lancée partout en France et dans certains pays d’Europe comme la Belgique, la Suisse ou l’Italie à partir de tout début Novembre. Attention, les stocks vont être très limités pour ce premier lancement et il n’y en aura pas pour tout le monde, autrement il faudra attendre Décembre! Vous pourrez trouver la nouvelle collection dans environs une centaine de boutiques déco / cadeaux réparties dans les grandes et moyennes agglomérations de la métropole, mais aussi directement sur le site de Teo Jasmin. Comme Janvier dernier, cette nouvelle collection sera déclinée sur les objets déco phares de Teo que vous connaissez déjà comme les tableaux, coussins et chaises Louis XV etc. Mais la grande nouveauté, c’est les sacs tendance! Ci dessous un premier aperçu en exclusivité. Je vous rappel que vous pouvez également vous procurer les articles de la nouvelle collection directement à l’expo de BB « les années insouciances » qui se tient actuellement à Boulogne Billancourt (voir l’article précédent).
Exposition Brigitte Bardot à Boulogne Billancourt!! 2 juin
De septembre 2009 à janvier 2010, la ville de Boulogne-Billancourt ouvre les portes du MA30 à Brigitte Bardot : la femme avec un grand F qui a merveilleusement incarné la France, sa Marianne en est témoin, mais aussi la libération de la Femme et une certaine forme de lutte contre l’hypocrisie. Brigitte Bardot, star incontestée et incontestable des années 50-60, hymne à la beauté, à la sensualité et à la liberté. Actrice adulée par le monde entier et encore aujourd’hui plébiscitée par un sondage international datant de 2008, comme l’une des plus belles femmes du monde.
En dehors de la référence évidente à la culture cinématographique de Boulogne-Billancourt, pourquoi Brigitte Bardot ? Initiales BB me direz-vous ! Pas uniquement. La ville de Boulogne-Billancourt a en effet été l’une des premières villes a acquérir le buste d’Aslan qui, des années 60, adresse un clin d’oeil au buste de Laetitia Casta incarnant aujourd’hui Bardot dans un film en cours de tournage.Brigitte Bardot a également tourné sept films dans les studios mythiques de Boulogne-Billancourt parmi lesquels : Les Grandes Manoeuvres de René Clair avec Michèle Morgan et Gérard Philippe, la Mariée était trop belle, la Femme et le Pantin de Julien Duvivier, les Amours Célèbres de Michel Boisrond avec Alain Delon et Jean-Claude Brialy. Cette exposition rebondit également sur l’anniversaire de Brigitte Bardot dont, par élégance et respect nous tairons l’âge. A noter que cet anniversaire donnera lieu à de nombreux articles de presse, des émissions de télévision et de radio, ainsi qu’une littérature abondante.D’autre part d’un point de vue plus sociologique, cette exposition se veut aussi le reflet de cette forme d’insouciance dont les années 50-60 très tendance, demeurent un symbole pour l’époque actuelle. Dans un contexte de morosité économique, un peu de bonne humeur ne sera pas négligeable pour se préparer à une reprise que nous espérons tous.Cette exposition événementielle sera l’une des premières du genre à Boulogne-Billancourt. Elle invitera à la fois à un voyage dans la carrière de l’actrice mais aussi dans les multiples modes qu’elle a pu lancer, dans des reconstitutions de ses films majeurs, dans le design de l’époque, mais aussi à travers le regard des grands artistes dont elle fut la muse : Warhol, Van Dongen, Richard Avedon, Robert Doisneau, Sam Levin, Arman, Aslan, Saura, Paco Rabanne. etc. Même le Café Cocotte pourrait se parer des couleurs de Sénéquier, le célèbre café tropézien.
Par ailleurs, de nombreux partenariats médias se mettent en place. Partenariats qui vont offrir une visibilité exceptionnelle à notre ville : Paris Match tirera à un million d’exemplaires une édition incluant un cahier de 16 pages consacré à lexposition, Beaux Arts Magazine éditera une édition spéciale à 100 000 exemplaires. Autres partenaires : Le Figaro, Europe 1 et Paris Première. Quant au nombre d’entrées, nous pouvons nous attendre à du jamais vu à Boulogne-Billancourt.BB des initiales porte bonheur qui ont pu faire dire au Général De Gaulle, que Brigitte Bardot avait rapporté plus de devises à la France que Renault ! Régie Renault dont BB fut aussi l’égérie, autre clin d’oeil à Boulogne-Billancourt.
(Extrait de la délibération n°20 que j’ai présentée au Conseil Municipal de Boulogne-Billancourt le 7 mai 2009).
Les produits design Brigitte Bardot 4 mai
Vous en rêviez? Téo l’a fait!Les produits déco design Téo Jasmin à l’éffigie de BB, c’est l’evenement qui fait un carton depuis le début de l’année. Le portrait POP de BB existe en trois couleurs différentes : Blanc, Gris et Rose. Il y en a donc pour tous les gouts! Plusieurs formats sont bien sur disponibles. Chacun pourra donc y trouver son compte!
Les tableaux:
Disponibles en triptyque 24×24 cm:
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Format carré 50×50 cm ou 100×100 cm:
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Les coussins sont aussi de la partie, toujours disponibles en tailles et couleurs différentes!
Cliquez sur es images pour plus d’info.
Et enfin plusieurs types d’assises, de la chaise au canapé deux places, en passant par le cabriolet, le tout dans le style Louis XV
Brigitte Bardot, une vie… 5 mars
Son enfance
Brigitte Bardot naît à Paris le 28 septembre 1934. Issue d’un milieu bourgeois, elle reçoit une éducation stricte aux côtés de sa sœur Marie-Jeanne. Très jeune, elle se passionne pour la danse classique et fait ses premiers pas, à 7 ans, au cours Bourgat. En 1949, elle entrera d’ailleurs au Conservatoire de Paris et y obtiendra un premier accessit.
En 1949, à l’âge de 15 ans, elle est engagée par la directrice de ELLE. Brigitte est alors promue « mascotte » du magazine ELLE dont elle fait la couverture en 1950. C’est principalement grâce à cette couverture qu’elle se fera remarquer pour une première proposition de rôle au cinéma. Elle rencontrera à la même époque son premier grand amour Roger Vadim qu’elle épousera en 1952 à l’age de 18 ans.
Les années 50
C’est alors que la carrière cinématographique de Brigitte commence, en multipliant les rôles dans plusieurs dizaines de films comme entre autres Les grandes manœuvres ou encore Cette sacrée gamine. Elle ne laissera personne indifférent lors de sa toute première apparition au Festival de Cannes ou à seulement 19 ans ou elle déchaînera la Croisette par son sex-appeal (elle est l’une des premières Françaises à porter le bikini) et fera de l’ombre à toutes les autres stars du cinéma de l’époque.
Mais cette consécration qui la propulsera au rang de mythe vivant et qui en fera une star du cinéma mondial, Brigitte va la connaître en 1956 grâce au film de Roger Vadim : Et Dieu… Créa la femme. Même si le film connu un succès modéré à sa sortie en France, c’est aux Etats-Unis que le film connaîtra un immense succès.
C’est peu de temps après ce film que Brigitte divorça de Roger Vadim pour se tourner vers Jean Louis Trintignant.
Dès lors, le mythe B.B. se créa : cheveux blonds clairs, très longs, en cascade de boucles et de crans, ou encore la célèbre coiffure choucroute. Des yeux fardés d’un eye-liner noir s’étirant, la bouche rouge ou rose vif entourée d’un tracé de crayon assorti. Des vêtements sexy et moulants, tailleurs, jupes prince de galles, taille entourée d’une grosse ceinture, robes ou jupes amples à motif vichy (une des nombreuses modes qu’elle lança à l’époque), ballerines, jean’s, tee-shirts, minijupes et minirobes, shorts, cuissardes ou encore le fameux bikini qu’elle démocratisa. Également, de grandes personnalités telles que François Nourissier, Marguerite Duras, Jean Cocteau ou encore Simone de Beauvoir s’intéressent à elle et lui consacrent des articles. La « Bardolâtrie » était née.
Devant ce succès planétaire, Hollywood lui fait miroiter de fabuleuses propositions, mais elle refusera toujours, désirant rester une valeur française. On lui prête une vie dissolue et pleine d’amants… Dès lors, ses moindres faits et gestes sont traqués, épiés et déformés, les paparazzi ne la lâchent plus. Des millions de journaux feront de sa photo leur couverture à travers le monde et elle fera l’objet d’un nombre incalculable d’articles la mettant en vedette ou la dénigrant parfois violemment.
B.B. enchaîne les films à succès avec les plus grands acteurs du moment, comme en 1957 où elle tourne dans Une Parisienne, une comédie de Michel Boisrond avec Henri Vidal.
En 1958 sort dans les salles En cas de malheur, de Claude Autant-Lara, avec Jean Gabin et Edwige Feuillère. Ce film, qui relate l’histoire d’un avocat parisien compromettant sa carrière et son ménage par amour pour Yvette, une jeune femme ayant commis un petit braquage qui a mal tourné, est un des grands classiques du cinéma français. Gabin, qui se demandait au départ au sujet de Bardot, quelle était cette chose qui se baladait toute nue, et qui dira par la suite qu’il la considérait comme une vraie comédienne.
Puis en 1959, elle tourne dans Babette s’en va-t-en guerre de Christian-Jaque avec Francis Blanche et un acteur qu’elle impose, Jacques Charrier. Ce dernier la séduit et il l’épouse le 18 juin de la même année sous le feu des médias du monde entier. Le 11 janvier 1960, elle accouche, à son domicile (ne pouvant sortir de chez elle, son appartement étant cerné par les photographes), d’un garçon, Nicolas Charrier, dont la naissance fut un événement mondial.
Les années 60
En 1962, elle entame ce qui sera alors son premier combat pour la cause animale, en militant pour le pistolet d’abattage indolore dans les abattoirs. En effet, après avoir vu des photos démontrant les conditions dans lesquelles les animaux étaient tués, elle décida de devenir végétarienne et entama sa première bataille. Elle fut donc reçue à l’Élysée et obtint quelques années plus tard des pouvoirs publics « l’étourdissement préalable à l’abattage ».
La même année, Brigitte Bardot fait son entrée dans le dictionnaire Le Petit Larousse.
En 1963, à 27 ans, elle tourne dans le chef-d’œuvre cinématographique de la nouvelle vague, Le Mépris, de Jean-Luc Godard, avec Michel Piccoli et Jack Palance à Capri, dans la célèbre Villa Malaparte, conçue par l’architecte Adalberto Libera.
Par ailleurs, Michel Piccoli disait d’elle : « Brigitte Bardot fut, au début de l’entreprise, ravie qu’un cinéaste comme Godard lui demande de travailler avec lui. Bien qu’intimidée, elle était parfaitement consciente de ce qui l’attendait. Mais en même temps, il y avait quelque chose d’assez bouleversant dans sa manière d’être, son indolence, son non-besoin d’effort ».
Elle part l’année d’après, en 1964, passer des vacances à Buzios, un village du Brésil, en compagnie de son petit ami de l’époque, le musicien brésilien Bob Zagury. Dès lors, Buzios connut le même engouement que Saint-Tropez, grâce au séjour de la star. En remerciement, les brésiliens lui érigèrent une statue à son effigie, sculptée par Motta.
Puis en 1965, elle joue aux côtés de Jeanne Moreau dans Viva María ! de Louis Malle, réalisateur qu’elle retrouvait trois ans après Vie Privée. L’histoire de deux chanteuses de cabaret, au Mexique, embrassant une cause révolutionnaire. Le film eut un très gros succès, notamment aux États-Unis, où B.B. partit en faire la promotion. Elle fut reçue par la presse et le public comme les plus grandes stars hollywoodiennes. Elle fut également nominée pour ce film aux BAFTA, pour la meilleure actrice étrangère. À cette période, Bardot était au sommet de sa beauté et de sa gloire.
En 1966, le milliardaire allemand Gunter Sachs envoie une pluie de pétales de roses sur la Madrague depuis son hélicoptère pour lui déclarer son amour et la demander en mariage. Elle l’épouse en troisièmes noces le 14 juillet 1966 à Las Vegas. Leur union durera deux ans. Elle devra affronter l’année d’après une foule hystérique au Festival de Cannes 1967 avec son mari, alors qu’elle présentait le film hors-compétition de ce dernier. Ce fut sa dernière apparition officielle dans le monde du cinéma.
Et toujours en 1967, Brigitte Bardot vit une idylle avec Serge Gainsbourg. Elle devient sa muse et il lui écrit ainsi une dizaine de chansons, parmi lesquelles ses plus grands succès : Harley Davidson, Bonnie & Clyde, Contact, Comic Strip, Bubble Gum, La Bise aux hippies, L’Appareil à sous, Je me donne à qui me plaît ou encore Je t’aime… moi non plus…
Elle participe en fin d’année au Show Bardot, à l’occasion des fêtes, qui lui est entièrement consacré et qui connaît un succès télévisuel mondial, notamment aux États-Unis. Elle y interprète d’ailleurs la chanson « Harley Davidson » en motarde vêtue d’une minijupe en cuir et de cuissardes, Brigitte Bardot accède alors plus que jamais au statut de sex-symbol des années 1960. C’est à cette même époque que se développe la mode des posters. Celui représentant BB sur sa Harley va fortement contribuer à la diffusion de son image.
Parallèlement, d’autres compositeurs lui écrivent des chansons telles que C’est Rigolo, Invitango, Les Amis de la musique, Everybody loves my baby, la Madrague, Moi je joue, La Fille de paille, Le Soleil, Oh ! Qu’il est vilain, etc.
En 1968, Charles de Gaulle déclare que Brigitte Bardot rapporte autant de devises que Renault à la France. Le président l’apprécie également pour sa simplicité, son franc-parler et sa bonne humeur, il lui propose ainsi d’être le modèle du buste de Marianne exposé dans toutes les mairies de France. Elle accepte et devient ainsi la première femme à incarner les traits du symbole français.
Les années 70
En 1970, Michel Deville la montre joyeuse et mutine dans L’Ours et la Poupée aux côtés de Jean-Pierre Cassel. En 1971, elle joue dans Boulevard du rhum, de Robert Enrico avec Lino Ventura, l’histoire du film se déroule au temps de la prohibition. La même année, c’est aux côtés de Claudia Cardinale qu’elle tourne Les Pétroleuses, de Christian-Jaque, une comédie-western. Ces trois films furent ses derniers succès cinématographiques.
En 1973, après avoir tourné son dernier film, L’Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise, de Nina Companeez, après 21 ans de carrière, soit près de 50 films et 80 chansons, n’en pouvant plus de toute sa sur médiatisation et du cinéma, anticipant ainsi sa retraite artistique, elle se retire définitivement du 7e art. Décidant de se consacrer désormais à une autre passion qui lui tient depuis longtemps à cœur : la défense des animaux.
En 1977, elle déclenche une vaste campagne médiatique en partant sur les glaces polaires du Canada, à Blanc-Sablon, afin d’y dénoncer le massacre des blanchons organisé pour leur fourrure. Son périple va durer cinq jours sous une pression médiatique inouïe. À son retour en France, elle réussira à faire voter l’interdiction du commerce de produits dérivés de la chasse sur les phoques ayant moins de quatre semaines, grâce notamment au soutien du président de l’époque, Valéry Giscard d’Estaing.
Suite à son action au Canada, en 1978, Brigitte Bardot publie un livre imagé destiné aux enfants, Noonoah, le petit phoque blanc, racontant la vie d’un bébé phoque sauvé des chasseurs par un esquimau.
La fondation Brigitte-Bardot
C’est en 1986 qu’elle crée la fondation Brigitte-Bardot, organisme voué à la protection des animaux, qu’elle finance par une vente aux enchères d’objets, bijoux et effets personnels afin d’obtenir les 3 millions de francs nécessaires, et auquel elle lègue la Madrague pour assurer sa pérennité. En 1992, la fondation est déclarée d’utilité publique par le Conseil d’État. À connaître, les grands combats de la Fondation Brigitte-Bardot sont : la lutte contre la captivité des animaux sauvages (telle que dans les cirques ou les zoos), le transport des animaux de boucherie, l’hippophagie, la fourrure, les expérimentations animales, les abus de la chasse, les combats d’animaux (tels que les corridas ou combats de coqs), la chasse aux phoques, la chasse à la baleine, le braconnage ou encore les abandons d’animaux de compagnie.